“Ǧǧet-iyi abrid ad ɛeddiɣ, d aman kan i d-wwiɣ” d wagi i d izen n Manis Amrioui, win ɣef wayeg d-yeɣli udabu azayri i wakken ad s-ṛẓn ifadden ad ixelleṣ tayri-s i tmurt taqbaylit. Atah yizen d-yezzuzer Manis deg usebtar-ines n Facebook : « Ḥadret […]
TaqbaylitDans un communiqué officiel, parvenu à notre rédaction le Congrès Mondial Amazigh (CMA), appelle à un rassemblement devant l’ambassade d’Algérie à Paris( 50 rue de Lisbonne Paris 8e) ce 24 septembre 2022 à 14h. en effet, selon ses organisateurs, ce rassemblent aura pour but de […]
TAGRAƔLANT TAMAZGHA« Je suis “Sabah Zouaoui” l’épouse de “Razik Zouaoui” incarcéré dans la prison de kolea, j’informe tout le monde que mon mari est entre la vie et la mort suite à la grève de la faim illimitée entamée le 12 Septembre 2022 ». Voici le […]
TASERTIT TAZMERTJe viens de voir Aït-Menguellet, fatigué, on dirait “usé”, s’exprimer en français, l’autre langue prohibée par l’Etat algérien, face aux caméras algériennes, expliquant combien il était heureux d’avoir pu chanter à Oran face à un public “unis dans sa diversité. J’ignore s’il est informé des […]
TaqbaylitJe viens de voir Aït-Menguellet, fatigué, on dirait “usé”, s’exprimer en français, l’autre langue prohibée par l’Etat algérien, face aux caméras algériennes, expliquant combien il était heureux d’avoir pu chanter à Oran face à un public “unis dans sa diversité.
Les Kabyles sont essentiellement de tradition orale, tout ce qu’ils ont produit en contes, en poésie, en mythes voire même en philosophie, ne nous a été transmis que par le verbe, sauf exception. Et si les Kabyles avaient appris à transcrire leur vécu et à […]
TASERTITLes Kabyles sont essentiellement de tradition orale, tout ce qu’ils ont produit en contes, en poésie, en mythes voire même en philosophie, ne nous a été transmis que par le verbe, sauf exception. Et si les Kabyles avaient appris à transcrire leur vécu et à écrire leur conception du monde depuis l’antiquité ?
La tradition orale est la préservation et la perpétuation de la production littéraire, artistique et juridique d’un peuple par le verbe : le chant, la poésie, le récit…
Ce moyen de préservation et de transmission des textes n’est pas un choix consciemment fait par les peuples, mais l’acquierent naturellement pour cause généralement de l’absence de caractères de transcription.
Selon Younes Adli, la Kabylie n’est pas exclusivement de tradition orale, depuis l’antiquité des écrits ont été retrouvés un peu partout en Kabylie en Tifinagh à l’antiquité puis en caractères Arabes au 18e et au 17e siècles. Ils ne sont pas très nombreux mais en tout cas, ils permettent d’affirmer selon le même auteur que les Kabyles en particulier et les berbères en général ont laissé des écrits. On signale que les écrits datant de cette dernière période sont généralement l’œuvre soit de l’aristocratie Kabyle soit d’érudits de Zaouias.
Ce qui est évident est que l’essentiel de la production littéraire et poétique Kabyle notamment chez le petit peuple est orale et n’a été gardée que grâce à l’oralité. Il est de même pour le droit coutumier Kabyle appliqué dans Tajma3t de chaque village depuis au moins la fin de l’antiquité.
Étant donné que l’essentiel de ce que les Kabyles ont produit n’a pas été transcrits et n’a été transmis que de bouche à oreille par les moyens déjà cités, on conclut que la Kabylie est essentiellement de tradition orale, bien que certains textes nous aient été parvenus par écrit.
L’idée que nous allons traiter dans ce chapitre reste une hypothèse mais elle est loin d’être de la spéculation pure. Dans l’histoire, les mêmes causes ont souvent produit les mêmes effets. Si la Kabyles avaient décidé d’écrire leurs vécu et pensées comme les Arabes, les Romains, les français et beaucoup d’autres peuples, ils auraient pu comme ces derniers théoriser puis véhiculer ailleurs leur philosophie et leur façon de voir le monde.
Pour étayer ces propos on présente ce qu’aurait déclaré l’historien et le scientifique Ibn Khaldoun : “Les berbères possèdent des traditions anciennes qu’ils se transmettent de père en fils, si elles étaient transcrites, elles auraient servi d’exemple aux autres nations”.
L’un des facteurs qui permet à une civilisation d’avoir de l’influence sur les autres peuples est l’écriture.
Certains pourraient se demander est-ce que les Kabyles ont suffisamment de valeurs à véhiculer ? Si Karl Marx, Maxime Kiwaloweski, Rosa Luxembourg et beaucoup d’autres penseurs et scientifiques ont parlé de l’exemple Kabyle, c’est qu’ils ont trouvé chez les Kabyles quelque chose d’assez particulier.
Les trois penseurs précédemment cités se sont penchés sur la famille indivise et la façon avec laquelle les Kabyles géraient la propriété foncière.
Le père de la sociologie moderne Émile Durkheim s’est intéressé lui aussi au fonctionnement économique et socio-politique de la Kabylie.
Agraw, la3naya, Jamaa liman pour ne citer que ces trois notions auraient pu se transformer de valeurs appartenant à un peuple à des concepts politiques, sociologiques voire même philosophique d’une grande importance. L’oralité en Kabylie a permis de préserver ces pratiques, mais n’a pas pu les véhiculer à travers les peuples.
Les Kabyles ne sont pas en reste des autres peuples concernant les réalisations militaires. Étant à l’antiquité une enclave en Numidie, les Kabyles auraient probablement fourni des hommes à la célèbre cavalerie Numide. L’histoire ne peut le confirmer avec certitude compte tenu du manque de sources écrites à ce sujet. Dans le cas où ils l’ont réellement fait, les Kabyles ont manqué d’écrire et de mentionner à jamais l’une de leur grande prouesse. D’autres guerres au début de notre ére se sont déroulées sur le territoire Kabyle, en partie la guerre de Takfarinas et quasi entièrement celle de Firmus. Des écrits d’autres peuples notamment des Romains qui étaient des belligérants attestent amplement le fait que les Kabyles ont pris part à ces guerres. Seulement, si le Kabyles avaient écrit, particulièrement en leur langue, ils en auraient fait des événements de gloire.
K-YANIS
Ass-a n 18 yebrir 2022, d asmekti n tmettant n Massinissa, asnawan n 19 n iseggasen sɣur ijadeṛmiyen izayriyen deg At Dwala; 21 n iseggasen-aya, wid i tyenɣan ur cuṛɛen xas ulamma nezṛa belli d ajedaermi Merebet Mestari i yḥuccen iḍarren-is. Acu yeḍran ass n […]
AMEZRUYAss-a n 18 yebrir 2022, d asmekti n tmettant n Massinissa, asnawan n 19 n iseggasen sɣur ijadeṛmiyen izayriyen deg At Dwala; 21 n iseggasen-aya, wid i tyenɣan ur cuṛɛen xas ulamma nezṛa belli d ajedaermi Merebet Mestari i yḥuccen iḍarren-is.
Acu yeḍran ass n 18 yebrir 2001 ?
Tiɣremt n imceddalen i d-yezgan ɣef usammar n Tubirett s wazal n 40Km, teddar cwal muqqren iḍ n yiḍelli n Ssebt 16 yebrir, send tameɣra d-hegga tɣiwant n imceddalen akked tiddukla n ilmeẓyen n tama-ya. Tameɣra anda tɣenna tcennayt taqbaylit Ṭawes, d tin i […]
TIMETITiɣremt n imceddalen i d-yezgan ɣef usammar n Tubirett s wazal n 40Km, teddar cwal muqqren iḍ n yiḍelli n Ssebt 16 yebrir, send tameɣra d-hegga tɣiwant n imceddalen akked tiddukla n ilmeẓyen n tama-ya.
Tameɣra anda tɣenna tcennayt taqbaylit Ṭawes, d tin i d-yellan deg wemṛaḥ n teɣremt n imceddalen, anda d-yezga lǧamaɛ. Asmekti kan ɣef yimi n yemdebbeṛ wissin n tɣiwant mass Fawzi Midun,deg wawal yefka i “Akhbar El Watan”, iwekked-ed belli d tameɣra i d-hegga tmehla n yelmeẓyen d waddal n tubirett akked tmehla n yedles.
Xas ulamma imheggiyen n tmeɣra, qudren imeẓẓulla n lǧamaɛ imi urǧan alamma kfant tẓallitin n yenselmen, s wazal n 1H, d wakken tebda, deg waya mass Fawzi Midun yenn-ad ” ugar n 40 n iseggasen-aya nekkni nxeddem timeɣriwen deg wemṛaḥ-a, ula deg seggasen n rrebrab ur nugad ara”. Imam n lǧamaɛ yettxemmim akken nniḍen imi akken izeggen yiḍ, yejeb iman-is daxel n lǧamaɛ, send akin yeṭṭef asawaḍ yessemɣuren taɣect, yebda ara ireggem, ineɛɛel deg imezdaɣ, armi yesseḥbes tameɣra. Awalen slan imezdaɣ n imceddalen, d ayen werǧin urǧin, maca ayen d-yeḍran yella iban ad yass wass deg ara d-yeḍru.
Amek imam yessaweḍ ad yesɛu tabɣest ad yergem iqbayliyen ?
“a baba wwetnaɣ a mmi ɛqelnaɣ”, Ass-a acetki ulaḥed azrem yewweḍ d talafsa, asmi d taqbaylit i yǧehden, isenselmen ddarayen taṛakna, ma d ass-a imi “JMEƐLIMAN” wwint waman, isenselmen zakanen-d idmaren-nsen, acku aṭas i nessusem.
Mači d tikelt tamenzut deg isenselmen d imamat-nsen ad kkren mgal cbaḥa n tudert taq baylit, ama deg Tizi neɣ deg Bgayet, deg At wertilan neɣ deg tubirett, deg Bumerdas neɣ deg Lberj, ula deg Tqesrayin ma tecfam asmi d-kkren ysenselmen mgal ansay n tmecṛeṭ. Akken twalam kra wanda tettazzal teqbaylit, tettganitt tisneslemt, tɛewwul ad s-terr takmamt, ad tt-tessenger.
Ayen yeḍran deg imceddalen iḍelli, d ayen d-yettbegginen tilawt n teqbaylit ass-a, tasnektit taɛrabt-tisneslemt d tin yebɣan ad tessenger taqbaylit ɣef wakal-is, ihi ma nbegges mgal tamhersa-ya ad nedder, ma nebra i ṭṭbel deg waman, ad ɣ-ɛezzin s ttwab ngger-nneɣ.
Afin d’endiguer l’évolution d’une conscience Kabyle et d’éviter toute initiative politique propre à la région, les ennemis de celle-ci ont inculqué dans l’inconscient des Kabyles de fausses idées et une haine de soi. Parmi les manipulations qui reviennent à chaque fois sur les bouches […]
TASERTITAfin d’endiguer l’évolution d’une conscience Kabyle et d’éviter toute initiative politique propre à la région, les ennemis de celle-ci ont inculqué dans l’inconscient des Kabyles de fausses idées et une haine de soi.
Parmi les manipulations qui reviennent à chaque fois sur les bouches est la situation géographique ainsi que le relief montagneux de la Kabylie qui empêcherait son développement.
La Kabylie n’est pas un eldorado de richesses et de ressources, mais elle n’est tout de même pas un désert tel qu’on veut faire croire.
Il n’est pas question ici de démontrer que la Kabylie est viable économiquement, bien qu’elle l’ait avec évidence, mais seulement de réfuter un argument fallacieux, celui de faire croire aux Kabyles que la Kabylie est une terre à la fois accidentée et non productive. On peut entendre par exemple face aux autonomistes ou indépendantistes la réplique que ce qui rend les projets de ces derniers suicidaires est le fait que la Kabylie soit un territoire exigu et une terre aride ainsi qu’isolée.
Par cet artifice, certains Kabyles ont pu gober l’idée que plus le territoire est vaste, plus il est viable, ce qui n’est en théorie pas faux. En pratique des facteurs beaucoup plus importants que la superficie entrent en jeu pour la prospérité économique d’un pays.
L’immensité des territoires Canadiens, Américains, Australiens et chinois a joué un rôle important dans le développement économique de ces pays, mais le même facteur a été un désavantage à l’épanouissement économique de la Russie.
Si on prend en compte le facteur de la superficie, en cet aspect la Kabylie surpasse près de 100 pays indépendants parfois des pays développés et émergents.
D’autres arguments liés à la géographie sont souvent évoqués pour mettre en avant l’idée de l’inviabilité de la Kabylie. L’une de ces bêtises est de dire que la Kabylie est un territoire reculé dans les montagnes, isolé et aride. Le conscient des Kabyles oublient toujours que bien que 60% de leur territoire est composé de reliefs montagneux, il contient aussi plus de 200 km de côtes maritimes et plusieurs milliers de km² de plaines notamment à Boumerdes et Tuvirett. Les montagnes ne sont elles aussi pas aussi infertiles qu’on les prétend, elles abritent un grand potentiel arboricole. La Kabylie avec sa richesse humaine qui est son capital essentiel, elle peut prospérer à la fois dans la petite et la grande industrie mais aussi dans l’agriculture.
La Kabylie est d’une superficie de 31 600 de km², soit à peu près la même taille que la Belgique qui est de 31 689 km². Cette dernière occupe la 139e place en termes de de superficie mais arrive à la 12e place du classement mondial des PIB (produit intérieur brut). On signale par ailleurs que la Belgique n’a quasiment aucune richesse naturelle ou souterraine, toute la matière première destinée à son industrie est importée.
Si la Kabylie était un pays Souverain, elle arriverait dans le classement mondial des superficies à peine derrière deux grands pays européens appartenant à l’OCDE et qui n’ont presque pas de richesses naturelles : la Suisse avec 41 000 km² et les Pays-Bas avec 37 000km².
Le territoire Kabyle est par ailleurs 10 voire parfois 20 fois plus vaste que certains pays dont quelques-uns sont les plus riches au monde à l’exemple du Luxembourg et du Singapour qui ont respectivement 2500 km² et 720 km². Le premier pays cité fait partie des pays de l’OCDE et est classé premier dans le monde en termes de PIB par habitant avec 150 000 dollars américains. Le Singapour quant à lui occupe la troisième place mondiale en PIB par habitant avec 59 700 USD.
La Kabylie est 1.2 fois plus grand que l’Arménie et l’Albanie, 1.3 fois plus que le Rwanda, 1.6 fois que l’Israël et la Slovénie, 3 fois plus que le Qatar, le Liban Ainsi que la Jamaïque, 47 fois plus vaste que le Bahreïn, 120 fois Malte, enfin 225 fois que le Liechtenstein.
Nombreux pays dans le monde puisent leur richesse de leur population notamment au sud-est de l’Asie. La qualité aussi bien que la quantité sont importantes pour faire de sa population une source de développement du pays.
La population Kabyle est très proportionnelle par rapport à son territoire. À l’exception des villes, la majorité des villages et localités sont à égalité en population. La dansité en Kabylie est à peu près de 200 hab./1km²,
Avec une dansité moyenne et une répartition plus ou moins égale de la population sur son territoire, la Kabylie peut tirer profit de sa richesse humaine dont la qualité est incontestable.
Avec 8 millions d’habitants, la Kabylie occuperait si elle était un pays Souverain à peu près la 100e place dans le classement mondial des pays par population.
À titre de comparaison, la Kabylie est plus peuplée que le Liban, la Norvège, la Finlande, le Danemark, la Slovaquie, L’Irlande, la Croitie, l’Uruguay… Elle est loin donc d’être un désert comme voudrait le faire croire les ennemis de cette région.
De l’antiquité jusqu’à l’arrivée des français, les montagnes ont constitué un rempart naturel contre les envahisseurs et ont permis à la Kabylie de préserver son indépendance. Aujourd’hui, le pouvoir Algérien veut faire de ce même élément un argument pour dissuader les Kabyles d’envisager un quelconque projet.
Il n’est pas possible d’avancer un chiffre exact, compte tenu du manque de sources, néanmoins il est certain que les plaines ainsi que les terrains cultivables comme les pontes douces peuvent constituer entre 25 et 35% du territoire Kabyle. On peut parler de trois espaces plus ou moins vastes qui simplifient l’activité agricole et dont la terre est fertile : la vallée de la Soumam qui s’étend sur une longueur de plusieurs dizaines de kilomètres et varie en largeur selon les endroits entre 2 à 6 km. Il y a aussi la vallée du Sebaou qui s’étend d’Azazga jusqu’à Tadamit et qui rejoint les plaines de Boumerdes (la plaine s’étend jusqu’à Ouacif en passant par Tizi Ghennif, Draa Lmizan, Boghni et Iwadhiyen. Enfin le sud-ouest de Bouira qui constitue un vaste territoire cultivable mais non exploité jusqu’ici.
De l’extrême est de Djijel à l’extrême ouest d’Alger, la Kabylie possède 250 km de côtes maritimes alternant plages de sables et falaises rocheuses. La côte maritime Kabyle donne accès à la haute mer méditerranéenne et constitue un chemin vers plusieurs pays dont le sud-ouest de l’Europe.
Des dizaines de pays dans le monde ont une géographie plus accidentée que la Kabylie : montagnes, désert, terres stériles, certains n’ont pas accès à la mer et parfois même sont enclavés à l’intérieur d’autres États. Cela ne les a pas empêchés de trouver des alternatives économiques et même de devenir des pays émergents pour certains.
Y-K
Mohamed Allaoua a fait son retour au Zénith le 26 février dernier après trois ans d’absence. A l’accoutumée, la star incontestée de la chanson Kabyle a enflammé la salle légendaire de Paris. La particularité de cette rencontre a été marquée par l’hommage rendu aux […]
TASERTITMohamed Allaoua a fait son retour au Zénith le 26 février dernier après trois ans d’absence. A l’accoutumée, la star incontestée de la chanson Kabyle a enflammé la salle légendaire de Paris.
La particularité de cette rencontre a été marquée par l’hommage rendu aux victimes des incendies de la Kabylie et par le soutien moral aux détenus politiques. Il est à signaler que l’exclusivité des bénéfices dégagés de la production du Zénith sera versée aux familles qui ont perdu des membres lors des incendies de Kabylie.
Allaoua est l’un des rares chanteurs Kabyles ces dernières années à pouvoir remplir des salles de cette envergure. Le Zénith est une salle de plus de 6000 places et celles-ci sont souvent vendues à guichet fermé lors de ses concerts.
Son retour le 12 janvier dernier a été spectaculaire. Mohamed Allaoua a comme d’habitude suscité une communion euphorique entre lui et le public. La soirée a connu l’intervention de deux géants de la chanson Kabyle, Ait Manguelet et Cherif Hamani.
Près de 7000 personnes ont assisté au spectacle de Mohamed Allaoua. Ce chiffre n’est pas son record étant donné qu’il est déjà allé au delà en nombre de spectateurs, notamment dans le Bercy qu’il a animé en janvier 2019.
Mohamed Allaoua est connu pour sa générosité démesurée, mais cette fois-ci il en a fait un acte de solidarité et de résistance. Après avoir apporté son soutien explicite aux détenus d’opinion sans distinction partisane, il a décidé de verser l’exclusivité de l’argent degagé aux familles qui ont perdu un membre lors des incendies du mois d’août 2021.
La somme dont il est question est à un peu plus de 56 000 euros. Il ne s’agit pas de la totalité de l’agent issu des billets qui s’étaient vendus à 35 euros l’unité. 56 000 euros est le résultat de la déduction des charges qui sont évaluées selon le producteur du concert à 135 000euros, de la recette qui est de 191 000 euros.
Ces chiffres ont été détaillés par le producteur du Zénith en question Aomer Alliche dit Alliche Évents en compagnie de Kamel Tarwiht dans une émission diffusée aujourd’hui sur Berbère Tv. Il est revenu sans rien omettre avec des factures sur les dépenses de la production : musiciens, salle, effets lumineux, charges…
Il a entre autres parlé de la façon avec laquelle se déroulera le versement de l’argent et a notamment insisté sur la transparence. Selon le producteur, la distribution du bénéfice aux familles des victimes se fera par des chèques remis par Mohamed Allaoua en personne accompagné des caméras de Berbère Tv.
Y-K
Deg useggas n 1992, yuɣal-d Edmond s wudem n tifrat d wesdukel n yal ameɣnas yumnen s weɣlan akuṛsiki, abrid n tifrat deg usemmeḥ ger yal win yettnaɣen ɣef uzekka n tlelli i tmurt takuṛsikit, xas ma mxallafent tiktiwin, xas ma mgaraden wallalen n umennuɣ […]
TASERTITDeg useggas n 1992, yuɣal-d Edmond s wudem n tifrat d wesdukel n yal ameɣnas yumnen s weɣlan akuṛsiki, abrid n tifrat deg usemmeḥ ger yal win yettnaɣen ɣef uzekka n tlelli i tmurt takuṛsikit, xas ma mxallafent tiktiwin, xas ma mgaraden wallalen n umennuɣ d takuṛsikit id-yessawlen.
Ihegga-d i lmend n yeswi agi n tdukli yiwet n lejrida umi isemma “Unione Naziunale = tadukli taɣelnawt” anda id-yewwi igemmaḍ igerzen acu kan di tallit nni, FLNC yekcem di tmenɣit n ikuṛsiken s timmad-nsen, wid akk ladɣa yeddan mgal-nsen, xas ulamma Edmond werǧin i-yessared ifassen-is si tikli n FLNC, maca diɣ werǧin i ten-id-yesnimmer neɣ icekkeṛ, ḍlan taswiɛt armi yeɛṛeq cced uyeddid, taɣlist txuṣ (manque de sécurité), tugdi tekcem ul n yal amezdaɣ n Kuṛsika, maca send tamettant n Ṛubiṛ Suzzi, yiwen n umeɣnas ɣef tmunent n Kuṛsika, ayen yeǧǧan Edmond ad yejbed iman-is deg ubrid agi n Tdukli taɣelnawt, imi ar ɣuṛ-s ur d-tegri tdukli akk d wid yessusmen ɣef lmut n umeɣnas-nsen, ayen i t-yeǧǧan ad yetaxer deg usqamu aɣelnaw akuṛsiki.
Deg useggas n 2014, FLNC yessers abeckiḍ, mmi-s Gilles, yessaweḍ ad yesdukel imeɣnasen n timanit d timunent ad ṭfen weḥḥed-sen Asqamu aɣeṛfan akuṛsiki, akka ayen ɣef wayeg yettnaɣ baba-s yessawḍ-it mmi-s d tilawt.
55 n iseggasen n umennuɣ, werǧin yuker aḍar ar deffir, werǧin i t-yeffeɣ leɛqel, ifaq weqbel akk imeɣnasen nniḍen akken abeckiḍ ur ibennu ara tugdut, ur ibennu ara tamurt, mer isuɣen awal tili aṭas n teṛwiḥin ara imenɛen, mer isuɣen awal tili aṭas aya deg tamurt takuṛsikit ad tedder s wezday n lqedd, ad tili d amedya i yegduden n umaḍal di lebni d tmeti n talwit, n tegzi d tugdut, tudert n Edmond Siméoni, d tudert n umennuɣ akuṛsiki d amedya i yal ameɣnas aqbayli, amedya n usirem maca diɣ amedya n ṛẓana di tikli d umennuɣ, d tamsirt deg umennuɣ i lmend n bennu d uwanek, i lmend n bennu n tagduda.
Ass-a xas mazal werɛad Kuṛsika ur tessaweḍ ara ar yeswi-s, maca tedda deg ubrid yessufuɣen, imi rran ẓẓeṛb ɣef tnekkit-nsen, d tutlayt d yedles-nsen, ulac tugdi fell-as, akka ula d nekkni ilaq ad neffeɣ di tirga n telli ar lebni n tlelli s yiɣil-nneɣ di talwit d lefhama, mačči s westixxeṛ d uqejjem n wegdud, mačči s rregmat d usexleɛ n wegdud maca s tuṭfa n ufus i win ass-agi nenwa yeffeɣ i webrid, s uwelleh n win nwala yecceḍ, s lǧehd n tiktiwin-nneɣ d usenfaṛ-nneɣ mačči s tuzma d uḍeṛṛef n yal win ur neddi yid-neɣ ass-agi.
Edmond Simeoni (IDMUN SIMYUNI), d argaz asertan Akuṛsiki, ilul-d ass n 6 ɣuct 1934 di CORTE di Kuṛsika n ufella, yiwen ger ibabaten n weɣlan Akuṛsiki Asmi yesɛa 20 iseggasen, yemlal Lucie (Lusi), akked yesɛa sin warraw-is ger-asen Abugaṭu d wergaz aserti, Gilles Simeoni, yeḍfeṛ aḥric n Gastro-entérologie, anda yella axxam n tujjya di Bastya deg useggas n 1965.
Yessuddes-d di yulyu 1970, Tigawt Tamawit Takuṛsikit ( ARC : Action Régionaliste Corse), yuɣalen deg useggas n 1973 Azzione per a rinascita di a Corsica ( Tigawt i tlalit takuṛsikit). Deg useggas n 1973 daɣen yeffeɣ-d ar webrid akken ad iberreḥ s lɣiḍ-is deg udeggeṛ n uberčix azeggaɣ deg ilel agrakal.
D argaz n talwit, win umi ur yettergigi ufus, Edmond Simeoni, isebbel tudert-is i tmurt-is yennuɣ tudert-is akk i timanit n Kuṛsika. Yegra-d deg umezruy, d yiwen ger ibabaten n “uɣlan akuṛsiki”, netta d watmaten-is, Max d Roland.
Deg useggas n 1977, yessuddes-d UPC ( Tadukli n wegdud, akuṛsiki, union du peuple corse) d amussu n timanit. Di 1983, Edmond Simeoni yuɣal d Amwelleh di tɣiwant n Bastya (Conseiller municipal de Bastia), acu kan tazmert teǧǧa ifadden, yendeṛkal wul-is, ayen i t-yeǧǧan ad yejbed iman-is ɣef tsertit.
Des useggas n 1992, amussu-ines irebḥ-d 8 n ikersiyen di tefranin n tamiwin, di tesqamutt n Kuṛsika, maca Edmond Simeoni yetaxxeṛ ad-yezzaken ɣef aya akken yugi tasertit n ṭṛad n FLNC,
Di 2004, yiwen useggas islul-d tidukla “imdukal n kuṛsika”. 3 iseggasen umbeɛd deg useggas n 2007, akk d WAXXAM AKUṚSIKI yettekki deg usmekti n 200 iseggasen n Pasquale Paoli, anda diɣ yettekki di cadet ( GODF) deg uskasi ɣef imal n kuṛsika. Deg useggas n 2009, ihegga-d akk d l’IRCA, lqeṛn n Danielle Casanova, u yeslal-d yid-s, ASS AGRAƔLAN N KUṚSIKA.
Akka deg ubabat n weɣlan akuṛsiki, ar umeddaḥ ur nzeggel ula d yiwet n tegnitt akken ad yerfed awal akuṛsiki, ad t-yezreɛ di yal amḍiq deg umaḍal. Edmond d win id-iṛebban tisutwin, ɣef umennuɣ akuṛsiki, ass-a yezmer ad yesgunfu imi axxam yeɛmeṛ, ayagi yettbeggin-d idles aserti yesɛa wergaz agi, ur nerri ara amennuɣ d ayla-s maca d ayla n yal amdan akuṛsiki, yessew-it, iḥuder-it ladɣa ileqqem-it.
Le Salon International du Livre d’Alger (SILA), une manifestation culturelle dédiée au livre et à la littérature créée depuis 1996 par les autorités algériennes a brillé cette année, comme à son accoutumée, par la censure et l’arbitraire. En effet, cette 25e édition est entachée par […]
IDLES TASERTITLe Salon International du Livre d’Alger (SILA), une manifestation culturelle dédiée au livre et à la littérature créée depuis 1996 par les autorités algériennes a brillé cette année, comme à son accoutumée, par la censure et l’arbitraire. En effet, cette 25e édition est entachée par une volonté de censure manifeste et identifiée. C’est le directeur de “Koukou édition” qui crie au scandale et dénonce la censure sur sa page Facebook.
Voici la liste des livres interdits avec année de publication à la 25 édition de SILA.
ALERIA ṬṬUṚNA DEG TUDERT N UMEƔNAS Tidyanin n Aléria (ALIṚYA) d tid ara ibeddlen Edmond Siméoni ama di tudert-is n umeɣnas neɣ di tegzi-s n umennuɣ akuṛsiki d tmuɣli-s s umata ɣef temsalt n tegzirt takuṛsikit mačči kan imi d tigawt (action) tamenzut ara yeg […]
AMEZRUY TAGRAƔLANTALERIA ṬṬUṚNA DEG TUDERT N UMEƔNAS
Tidyanin n Aléria (ALIṚYA) d tid ara ibeddlen Edmond Siméoni ama di tudert-is n umeɣnas neɣ di tegzi-s n umennuɣ akuṛsiki d tmuɣli-s s umata ɣef temsalt n tegzirt takuṛsikit
mačči kan imi d tigawt (action) tamenzut ara yeg umussu n timanit takuṛsikit ara d-yeglun s uɣelluy n teṛwiḥin maca d tigawt, ara d-ijebden lwelha d tafat ɣef yiwen wergaz, wagi d amejjay Edmon Simeoni. Ass n 21 ɣuct 1975, ɣef uqeṛṛuy n 12 iɛeggalen s lemkaḥel ( ibeckiḍen) n uṣegged, ṭfen s yiɣil yiwen wexxam anda jemɛen cṛab d tẓuṛin, n yiwen n uḍaṛ aberkan ( pied noir ), akken ad beggnen urrif-nsen d ibeddi-ines ar yidis n ifellaḥen ikuṛsikiyen, ixeddmen cṛab. Acu kan adabu amhersan afṛansi ur yurǧi ara akken ad-iceggeɛ iserdasen-is, s waṭas ( 1200 iserdasen n ijadeṛmiyen), rnuy-as geddac d ikuṛyas yeblandin, seddaw n iwellihen n uneɣlaf n daxel Michel Poniatowski, ɣef wayeg iwufeq uneɣlaf amenzu Jacques Chirac, Ẓẓedma agi tegla-d s tmettant n 2 ijadeṛmiyen d wejraḥ n yiwen wemdakel ger yemdukal n Edmond umi yekkes uḍaṛ. Tadyant n ALIṚYA d tin id-ibeggnen i wmaḍal akken tella, tamsalt takuṛsikit, u diɣ d tin ittheggin iseggasen n umennuɣ ger imeɣnasen n tlelli takuṛsikit akk d temharsant tajakubinit tafṛansist.Dr Simeoni, imekken iman-is d ameḥbus s lebɣis, ad yekcem deg umezruy, d akuṛsiki amenzu ara irefden abeckiḍ akken kan ad yejbed lwelha n tɣamsa d tmuɣli n umaḍal ar temsalt takuṛsikit, maɛna di tagara, iqubel s ukeṛtuc, acengu afṛansi ur yersi leɛjeṛ ur yeffir udem-is. Fṛansa tewwi ameḥbus, terra-d i wegdud akuṛsiki agrawliw n lebda.
“ulac argaz id-yeɣlin deg genni yewwi-d tifrat deg iciw-is, mačči d nekk i d argaz-agi neɣ d nek kan i yesɛan tifrat, tifrat tella ar yal yiwen seg-wen, ma tedduklem, ssarameɣ kan akken amennuɣ ur yessutur ara tigawin (actions) ara ɣ-yeǧǧen azekka ad nendem” d wagi i d imeslayen n Edmond umbeɛd mi id-yeffeɣ di lḥebs,
Send tidyanin n Aliṛya, amussu i timanit n Kuṛsika yedder di yir liḥala, ur yuẓi ar zdat ur yeqqil ar deffir, am yimi idegger taluft ar lḥedd-is, refden-tt yelmeẓyen umi yeffeɣ laɛqel ladɣa sen tadyant agi, anda walan akken ur yegri umeslay akk d ucengu afṛansi, aneggaru agi ḥala tameslayt n ubeckiḍ d ddreɛ umi yesmuzgut, Edmond ur yeddi ara deg ubrid agi, imi yeẓṛa amezruy yeqqaṛ-d akken ur nbennu ara timeti n tidett d tugdut s idammen n warraw-is, akud yefka-yas azref, acukan di tallit-nni izen ur yewwiḍ ara ar yelmeẓyen.
« mer walaɣ akken nezmer ad nawi tilelli s ukeṛtuc tili aṭas aya i refdeɣ abeckiḍ » d tagi i d tafyirt n Edmond i t-ifeṛqen akk d tifrat n ddreɛ d FLNC, ger useggas n 1976 d 1978, FLNC iberreḥ-d ɣef ugar n 1000 n txazzabiyin iga mgal lemlak n ddula tafṛansist d izamulen-is di tegzirt takuṛsikit, di tallit-nni adabu afṛansi yessefsex amussu n ARC, ayen yeǧǧan iɛeggalen n uneggaru agi, ad slalen UPC ( Tadukli n wegdud akuṛsiki), ilul-d kan yekcem deg uguren meqqṛen seg idis lekerhegga n ilmeẓyen iɣlananen ( jeunes nationalistes) n FLNC, seg idis nniḍen yuɣal ger wallen n yiwet n tuddsa n yiɣil id-slulen srabes n Fṛansa mgal-is tin umi qqaṛen “FṚANSYA”, ixedmen tixazzabiyin mgal iɛeggalen n UPC, deg useggas n 1980 yettwakur yiwen seg imeɣnasen n UPC ayen id-yeglan s temsbaniyin meqqṛen, maca ur tettɛeṭṭil ara ad terked teswiɛt, umbeɛd umi d iẓelmaḍen ɣef uqeṛṛu-nsen François Mitterrand i yeṭfen taselwit n Fṛansa.
Edmond Siméoni, yerfed yessers, yeddem abrid ara yernun di ccan d umennuɣ n talwit, imi ddreɛ yugi-t, akeṛṭuc iɣunza-t, tamuɣli-s iwehha-tt ar tefranin, ar ɣuṛ-s, ilaq amussu n timanit ad icudd srid ar tudert n ikuṛsikiyen ad yeffeɣ seg wawal kan, d uberreḥ, d rregmat d umeǧǧed, imezdaɣ sran ( ḥwaǧen) win ara d-yelhun deg uṣeggem n tudert-nsen n yal-ass, annect agi ittekk-d s uttekki n UPC di lebni n uwanek akuṛsiki di tilawt, mačči kan s tiktiwin d wawal d tira, ayen i t-yeǧǧan ad yekki di tefranin n tamiwin n useggas n 1982 anda id-yewwi netta d yemdukal-is 8 ikersiyen, assen agdud akuṛsiki yusa-d ad isel mačči i wegrawliw maca i wergaz n tilawt ara d-yemmeslayen ɣef tifrat n wuguren-nsen n yal ass.
Seg umeɣnas tettnadi tissulta tafṛansist, ttwalin seddaw tiṭ ar wergaz asertan i yeskecmen tamsalt n timanit d tnekkit takuṛsikit ar timiṭ n ddula tafṛansist tajakubinit tamharsant, nettat yebɣan ad as-terr takmamt, ad tesseɣli di ccan-is ticki yerfed abrid n tefranin, teɣli di tqellaɛt i tudi s timmad-is, acu kan di 1983, yeɣli-d fell-as waṭṭan n wul ayen i t-yeǧǧan ad yejbed iman-is ɣef wannar aserti ad yelhu kan di tezmert-is, maca tiktiwin d umennuɣ-is yuɣ yakan amkan meqqṛen abrid yenǧeṛ ulac win ara t-iregglen.
Kṛad (3) iseggasen, i yesseqdec Edmond deg uxemmem ɣef liḥala n tegzirt-is s umata d tin n umussu asertan i timanit n Kuṛsika, yefra-tt deg uqeṛṛuy-is akken abrid n tugdut d winna i ilaqen i lebni n uwanek akuṛsiki n uzekka, “ur nezmir ara ad nessexḍel ssiman d idammen di lebni n tmurt takuṛsikit” id-yenna Edmond deg umeslay n tuɣalin-is ar wennar aserti.
Il était une fois un peuple nommé « le peuple Kabyle », admiré, craint et respecté par tous les peuples qui ornent la Méditerranée. Sa contribution était majeur dans l’invention technique, l’éclosion de la démocratie et le développement des savoirs rationnels. Il avait élu pour […]
TASERTITIl était une fois un peuple nommé « le peuple Kabyle », admiré, craint et respecté par tous les peuples qui ornent la Méditerranée. Sa contribution était majeur dans l’invention technique, l’éclosion de la démocratie et le développement des savoirs rationnels.
#JAAT
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.