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“Décidément le régime algérien poursuit sa politique répressive contre toute forme d’expression qui ne cadre pas avec sa logique totalitaire”. C’est ainsi qu’a résumé la situation Lazar Bessadi.

Membre du mouvement souverainiste AKAL convoqué sans que le motif ne soit mentionné par la brigade de gendarmerie de Cherega.

Après Mouloud Hamrani, qui a été convoqué par cette même brigade il y a quelques semaines où il a été interrogé sur le mouvement AKAL, c’est au tour de Lazar Bessadi de connaître la même chose.

Affaire à suivre