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Suite aux ravages causés par la Covid 19 et étant donné les conjonctures sanitaires actuelles, les prolétaires de la diaspora kabyle se sont mobilisés de telle sorte à cotiser des sommes d’argent afin d’alimenter les hôpitaux de Kabylie en concentrateurs d’oxygène et que chacun puisse sauver ses proches de la mort.

Comme il fallait s’y attendre, le pouvoir algérien de par sa haine du Kabyle, a réquisitionné les concentrateurs d’oxygène afin de “les distribuer à qui il veut et quand il veut”. Paradoxalement, il y a déjà eu auparavant des cotisations destinés à des régions d’Oranie qui ne furent point raquettées.

Quelques jours plus tard, voici que le pouvoir algérien décide de brûler simultanément plusieurs villages et forêts en Kabylie, ce qui provoqua la sinistration de plusieurs familles qui se retrouvent aujourd’hui sans maisons, d’autres furent obligées de quitter leurs domiciles afin d’éventuels massacres.

Au lendemain, le Ministre de L’intérieur se rend en Kabylie dans une tentative de laver le pouvoir de tout soupçons, il déclare aux médias : “Ce n’est pas normal qu’il y ait plus de 50 départs simultanément, cela ne peut être que l’oeuvre de mains criminelles”. Après cette dernière sortie, le pouvoir, par le billet de se relais, accuse le MAK d’être derrière cet acte inhumain. Cette succession d’évènements qui se sont déroulés dernièrement ne sont que la mise en application du projet génocidaire portant le nom de 0 Kabyle.

TAHIR Khaled