Cela fait 59 ans que le digne fils de Kabylie, écrivain de talent, Mouloud Feraoun nous a quittés, assassiné par l’OAS en pleine guerre d’Algerie.
Natif de Tizi Hibel, il fréquente l’école de son village puis l’école primaire supérieure de Tizi Ouzou, avant d’être reçu à l’école normale de Bouzaréah.
Il devient instituteur au village Taourirt Aden, après avoir obtenu son diplôme. Il commence a écrire son premier roman le fils du pauvre en 1939.
Une occasion pour nous de vous inviter à revoir sa bibliographie :
Le Fils du pauvre, Menrad instituteur kabyle, éd. Cahiers du nouvel humanisme, Le Puy, 1950, 206 p.
La Terre et le Sang, Éditions du Seuil, Paris, 1953, 256 p.
Jours de Kabylie, Alger, Baconnier, 1954, 141 p.
Les Chemins qui montent, Éditions du Seuil, Paris, 1957, 222 p.
Les Poèmes de Si Mohand, Les Éditions de Minuit, Paris, 1960, 111 p.
Journal 1955-1962, Éditions du Seuil, Paris, 1962, 349 p.
Lettres à ses amis, Éditions du Seuil, Paris, 1969, 205 p.
L’Anniversaire, Éditions du Seuil, Paris, 1972, 143 p.
La Cité des roses, éd. Yamcom, Alger, 2007, 172 p.
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